Saison Jeune Public 2017 | 2018

Un personnage un peu atypique et drôle, se promène dans la forêt. C’est alors qu’il trébuche près d’un arbre, un arbre bien mystérieux qui cache dans ses fruits des trésors et surprises toutes aussi étonnantes les unes que les autres.
Un peu effrayé, puis curieux, le personnage se livre à un véritable échange avec l’arbre, mêlant énergie et malice, au travers de différentes danses hip-hop (Locking, New Style, Break-danse).
Ce spectacle invite à la découverte des sens en alliant drôlerie et complicité, alternant jeu de scène, danse et interaction avec le public.

Spectacle cub(iste). Au départ un cube de bois… Et si de ce cube on en faisait une maison ? et une deuxième ? et tout un village ? Dans ce village, il y a Patrick. Patrick c’est un personnage avec une tête de pipe qui passe ses dimanches à construire des cubes. Un jour, à cause d’une pluie de sciure, Patrick éternue. Cet éternuement sépare son cube en deux triangles… étrange…

Ici tout se compose par associations d’idées, selon le bon vouloir des manipulateurs espiègles.

Un personnage légèrement décalé, danseuse sensible et maladroite, découvre dans son sommeil une multitude de tissus colorés. Elle les assemble, les noue, la voilà transformée !
Des différentes étoffes émergent alors des personnages dansés, tantôt poétiques, burlesques ou graves ; joyeux, désemparés ou légers : une danseuse asiatique devenue Karatéka, une cocotte, une princesse, une danseuse de flamenco… Kaléidoscope, comme un kaléidoscope de danses, de musiques, de personnages différents.

Un spectacle léger et mouvementé pour les plus petits et leurs accompagnateurs.

Auteure autrichienne, Adelheid Dahimène est un grand nom de la littérature jeunesse. Plusieurs fois primée, elle reste méconnue en France où aucun de ses textes n’a encore été publié. Dans son œuvre, elle aborde avec humanisme et optimisme les différents liens qu’entretiennent les personnes, incarnées par des animaux.

Marie Dillies et Catherine Vaniscotte s’en sont emparées afin de créer un spectacle poétique croisant différentes disciplines artistiques telles que la composition musicale, la chanson, les images animées, et le kamishibaï (un petit théâtre d’images).

Sur le plateau, un piano, des livres, un ukulélé, du papier comme des grandes pages accueillant les images animées…. Et nous voilà plongés dans un univers singulier, sonore et graphique. Un petit cocon où l’on voyage d’histoires en histoires !

Ce serait l’histoire d’une journée, depuis le moment qui précède l’éveil à celui qui précède les rêves. Une journée comme une grande aventure quotidienne, avec ses rituels, ses inattendus et ses émerveillements.
Pour la raconter, treize caisses blanches. Treize ? Oui, treize, disposées en cercle comme une grande horloge. Les caisses se combinent, s’ouvrent et se transforment pour figurer les espèces du quotidien. Quelques objets aussi, de couleur, surtout du rouge. Et puis le jazz : tout un univers qui swingue, et deux voix qui s’en mêlent, se mêlent et se répondent.

Deux petites bottes jaunes vives et fantasques, une tête lisse comme un galet, un bateau en papier dans les profondeurs d’un rêve, vont et viennent, nous embarquent d’une rive à l’autre, d’histoires bizarres en rêves fous, sautillent, bondissent, trépignent, de personnages étrangement attachants en situations cocasses ou contemplatives.
Mené par une marionnettiste presque invisible, c’est un ballet d’images oniriques et farfelues, naïves et dissonantes qui se mettent à vivre intensément.
Un univers original, tendre et cruel, drôle et poétique, une histoire en boucle écrite au fil des images comme une comptine insolente. Haïku visuel pour marionnettes, ombres, mains et autres objets … un spectacle qui raconte avant tout la liberté et la puissance de l’imaginaire.